Although the use of opiates in the U.S. and England during the 19th century was enormously greater than it is now, both through physician-prescribed injections and ubiquitous patent medicines which were used as tonics and for recreational purposes, the incidence of dependence and addiction never reached 1% of the population and was declining at the end of the century before the restrictive laws were passed (Brecher, 1972; Ledain, 1973; Courtwright, 1982).
Aux États-Unis et en Angleterre, l’usage des opiacés était bien plus considérable que de nos jours, qu’il s’agisse d’injections prescrites par des médecins ou de médicaments brevetés omniprésents qui servaient de tonifiant ou étaient utilisées pour le plaisir, l’incidence de dépendance et de toxicomanie n’a jamais atteint 1 p. 100 de la population, et elle était à la baisse à la fin du siècle, avant l’adoption de lois restrictives (Brecher, 1972; Ledain, 1973; Courtwright, 1982).