4. In fact, since 1990, it is health and social service workers who have most often pressed municipal governments and health administrations to commit to the harm reduction movement, demanding additional services in hospital emergency wards for intoxication cases and maintenance treatments for drug addicts using substitute drugs or even preferred drugs for those addicts who cannot forego opiates.
4.- En fait, depuis 1990, ce sont le plus souvent des professionnels de la santé et des services sociaux qui ont pressé les gouvernements municipaux et les administrations de la santé de s’engager dans le mouvement de réduction des méfaits, réclamant des services additionnels dans les urgences des hôpitaux pour les cas d’intoxication, des cures d’entretien aux produits de substitution ou même aux produits de choix pour les toxicomanes qui n’arrivent pas à renoncer aux opiacés.