Yet if the criminal law of the Member States is not sufficient, we will need to reread Articles 82 to 86 of the Treaty of Lisbon, reflect on whether we can consider the corruption of MEPs to be cross-border crime or an act otherwise detrimental to the Union’s financial interests and determine whether or not to create a European Public Prosecutor, which would, moreover, be a significant step along the path to unity.
Cependant, si le droit pénal des États membres n’est pas suffisant, nous devrons relire les articles 82 à 86 du traité de Lisbonne, réfléchir à la question de savoir si nous pouvons considérer la corruption des députés européens comme de la criminalité transfrontalière ou comme un acte autrement préjudiciable aux intérêts financiers de l’Union et décider s’il y a lieu ou non de créer un poste de procureur européen, ce qui, en outre, serait un pas important sur la voie de l’unité.