First, I would note, as have some of my colleagues, that the refugee claim backlog, which has gone from nearly 20,000 in 2006, when the Conservatives came to power, to over 60,000 in 2009, is essentially a product of the delay in appointing immigration board members.
D'abord, je tiens à souligner, comme l'ont fait certains de mes collègues, que l'arriéré des demandes de statut de réfugié — en effet, on est passé de près de 20 000 en 2006, à l'arrivée des conservateurs, à plus de 60 000 en 2009 — est essentiellement dû au fait qu'on a tardé à nommer des commissaires à l'immigration.