I ask the following: Since he refuses to publicly dissociate himself from Stéphane Dion's comments, are we to understand that the Prime Minister's referendum strategy has gone from scaring Quebecers into saying No in 1980 to hurting them into saying No in 1995?
Je lui pose la question suivante: Puisqu'il refuse de se dissocier publiquement des propos de Stéphane Dion, doit-on comprendre que la stratégie référendaire du premier ministre qui, en 1980, consistait à faire peur aux Québécois pour leur faire dire non, en 1995, consiste à leur faire mal pour leur faire dire non?