The long-term structural reductions in public spending are of secondary importance and, moreover, the national budgets of many countries remain at around 50%, which is too high a level to control without risk of adding to the deficit in the event of crises or shocks.
Les réductions structurelles et durables de la dépense publique revêtent un rôle encore secondaire et, de plus, dans de nombreux pays, le déficit public se maintient à près de 50 %, niveau trop élevé pour être géré sans risques de nouveaux dépassements dans les déficits en cas de crise ou de choc.