Orange's internal documents, public statements of competitors and the Commission's economic analysis all suggest that after the takeover, the merged entity and their main remaining competitors would compete less aggressively, which would lead to higher prices.
Les documents internes d'Orange, les déclarations publiques des concurrents et l'analyse économique de la Commission donnent tous à penser qu'après le rachat, l'entité issue de la concentration et ses principaux concurrents restants se livreront une concurrence moins agressive, ce qui conduira à une hausse des prix.