In general, a gulf persists between good intentions and reality in the human rights field, where progress is too slow: the torture and degrading treatment of detainees continues to be widespread, freedom of expression is still unusually restricted and several thousand people currently in prison for offences would under our laws be considered prisoners of conscience.
De manière générale, le décalage persistant entre les bonnes intentions et la pratique dans le domaine des droits de l'Homme où les progrès sont trop lents : la torture et le traitement dégradant à l'encontre des détenus continuent d'être fréquents, la liberté d'expression est toujours anormalement encadrée, et plusieurs milliers de personnes sont aujourd'hui incarcérées dans les prisons pour des délits, qui au regard de notre droit relèverait de délits d'opinion.