It is therefore a question of continuing to defend and promote our wine-making practices; it is a question of supporting the quality-focused efforts of our producers, in particular at the WTO, and, finally, of agreeing on a definition that restricts the production models that are unacceptable and that give rise, as I have already said, to a kind of competition that is detrimental to our quality products.
Il s’agit donc de continuer à défendre et à promouvoir nos pratiques œnologiques; il s’agit de soutenir les efforts de qualité de nos producteurs, notamment à l’OMC, et enfin de nous mettre d’accord sur une définition qui limite des modèles de production inacceptables et qui génèrent, comme je l’ai déjà dit, une concurrence préjudiciable à nos produits de qualité.