If so, why this insistence on turning the same screw ever tighter with its Common Fisheries Policy (CFP), which by means of commercial agreements of whatever kind, favours and encourages these third states which do not respect biological rest periods nor stocks, and which moreover allow enormous commercial industrial fleets, some of them belonging to European shipowners, to catch the ‘pescaíto frito’ which we eat?
Pourquoi donc cette volonté systématique de présenter des propositions relatives à la politique commune de la pêche qui favorisent, dans le cadre d'accords commerciaux de toute nature, les pays tiers qui ne respectent pas les repos biologiques, ni les stocks, et qui permettent par ailleurs à d'énormes flottes industrielles, dont certaines aux mains d'armateurs européens, de nous fournir en "pescaíto frito" ?