The bill would allow, for example, third-party software companies to undertake reverse engineering for interoperability, security testing and encryption research.
En effet, le projet de loi permettrait, par exemple, à des sociétés de génie logiciel tierces d'entreprendre des activités de rétroingénierie — pour assurer la compatibilité des logiciels —, des essais de sécurité et de la recherche sur le chiffrement.