If clear statistics on biopiracy and misappropriation do not exist, illustrative cases over the last 20 years, including yellow ‘Enola’ bean, hoodia, rooibos, neem, etc., shed a new light on the challenge to face regarding the illegal use of GR and traditional knowledge (TK) in developing countries.
Si aucune statistique claire n'est disponible sur la biopiraterie et l'appropriation abusive, des exemples précis tirés de ces 20 dernières années, notamment les cas du haricot jaune "Enola", du hoodia, du rooibos ou du margousier, apportent un éclairage nouveau sur le défi à relever en ce qui concerne l'utilisation illégale des ressources génétiques et des savoirs traditionnels dans les pays en développement.