These assertions were vigorously challenged by industry supporters who painted a much different picture and who argued that the Canadian Food Inspection Agency routinely tests farmed salmon, like any other animals raised for food production, for antibiotics and contaminants, and that, compared to many parts of the world, relatively few therapeutants are legally available for use in Canada.
Ces affirmations ont été vigoureusement niées par les partisans de l’industrie, qui ont donné un aperçu très différent de la situation. Ils ont prétendu que l’Agence canadienne d’inspection des aliments vérifie régulièrement que les saumons d’élevage – comme tout autre animal élevé à des fins alimentaires – ne contiennent pas des résidus d’antibiotiques et de contaminants, et que, comparativement à bien des parties du monde, relativement peu d’agents thérapeutiques sont autorisés par la loi canadienne.