I've addressed the National Defence College of Canada for several years in a row and I put it to them that they don't have these powers, and that if they did do such a thing they could be brought up on a charge of breach of ethics. There is a code de déontologie and there is a procedure for reviewing behaviour.
J'ai pris la parole devant le Collège de la Défense nationale du Canada plusieurs années de suite et j'ai expliqué aux militaires qu'ils ne disposent pas de ces pouvoirs et que s'ils faisaient une chose de ce genre, on pourrait les accuser d'infraction à leur code de déontologie, qui prévoit une procédure d'examen.