Le Gaboteur, in Newfoundland, and L'Eau vive in Saskatchewan, had to cease their operations several times and could only publish again with the support of the community, and, it must be said, with grants for francophone communities.
Ils se demandent constamment s'ils auront les ressources qui permettront à leur journal de survivre. Le Gaboteur, à Terre-Neuve, et L'Eau vive, en Saskatchewan, ont dû cesser leurs opérations à plusieurs reprises, pour finalement recommencer, avec l'appui de la communauté et, il faut le dire, de subventions destinées aux communautés francophones.