If we add to this the fact that less than 20% of waste is recycled, that – in 50% o
f cases end-of-life materials are not
recycled and end up scattered throughout the countryside and that, moreover, allowing incinerators and waste that is dangerous to the environment and to public health to proliferate is not a tenable policy, what we have is a whole waste management philosophy that needs to be re-thought, and to be re-thought along three main axes: eco-design as a priority of waste prevention policy, given that 80% of the environmental impact occurs at the time that a product
...[+++] is manufactured and processed; the implementation of green taxation, which is intended to have a deterrent effect and which discourages excess packaging and energy-guzzling products; and the closure of Europe’s 10 000 illicit rubbish dumps or the modification of these dumps to bring them into line with the 2001 EU Landfill Directive.Si l’on ajoute que moins de 20% des déchets font l’objet d’un recyclage
, que la moitié des matériaux en fin de vie n’est pas transformée et finit éparpillée dans la nature et qu’en outre, la multiplication des incinérateurs et décharges dangereuses pour l’environnement et la santé n’est pas une politique tenable, c’est toute la philosophie de la gestion des déchets qui doit être repensée, e
t cela, autour de 3 axes forts: l’écoconception comme priorité de la politique de prévention des déchets dès lors que 80% de l’impact environnement
...[+++]al se fait au moment de la fabrication et du traitement du produit; la mise en place d’une fiscalité verte dissuasive et défavorable au suremballage et aux produits énergivores; la fermeture des 10 000 décharges illicites présentes sur le territoire européen ou leur mise en conformité à la directive européenne de 2001 sur la mise en décharge.