Moreover, knowing that the Commission could have imposed on E.ON Energie a fine of 10% of its annual turnover if the Commission had established the existence of anticompetitive practices, the fine of €38 million imposed for a breach of seal, which represented 0.14% of E.ON Energie’s annual turnover, could not be considered as excessive in the light of the need to ensure the deterrent effect of that penalty.
De surcroît, sachant que la Commission aurait pu infliger à E.ON Energie une amende de 10 % de son chiffre d’affaires annuel si elle avait établi l’existence de pratiques anticoncurrentielles, l’amende de 38 millions d’euros infligée pour bris de scellé, représentant 0,14 % de son chiffre d’affaires annuel, ne peut être considérée comme excessive au regard de la nécessité d’assurer l’effet dissuasif de cette sanction.