That being said, there are enough second-order things that show the relative relationships between those variables that you could come up with a good-enough-for-government-work kind of calculus that would, I think, come up with very positive health reductions on top of the economic ones, which would be strong in and of themselves.
Cela dit, on dispose d'assez d'éléments du deuxième degré qui montrent les variables auxquelles vous pourriez aboutir au moyen de calculs assez précis pour les fins du gouvernement, lesquels permettraient, je crois, d'aboutir à des réductions très positives des dépenses de santé qui s'ajouteraient aux réductions économi ques qui seraient en soi importantes.