If, on the one hand, everything comes to a more or less quiet and stable state in the Balkans within the next two or three months, that is to say the peacekeeping force goes in, the Yugoslavs either manage to remove Milosevic or he goes into appeasement mode, refugees begin to return, Russian troops are successfully integrated into the K-4, the peacekeeping force we are sending into Kosovo, then this issue may be sufficiently off the international agenda eight months from now that it will not be a major issue in the Russian elections.
Si, d'une part, la situation dans les Balkans s'apaise et se stabilise plus ou moins au cours des deux ou trois prochains mois c'est-à-dire que la force de maintien de la paix prend position, les Yougoslaves parviennent à déloger Milosevic du pouvoir ou qu'il adopte une politique d'apaisement, les réfugiés commencent à revenir, les troupes russes sont bien intégrées aux troupes du K-4, soit la force de maintien de la paix que nous dépêchons au Kosovo , la question sera peut-être, d'ici huit mois, suffisamment «sortie» de l'actualité internationale pour ne pas constituer un enjeu majeur des élections russes.