As a result, the employees of Veterans Affairs Canada lost their language-of-work rights ([8]) As discussed below, departmental representatives who appeared before the Committee stated that senior management decided to promote an environment that was conducive to the use of both official languages, despite the changes to the Act in 1988.
Les employés d’Anciens combattants Canada perdaient par conséquent leurs droits en matière de langue de travail([8]). Comme nous le verrons plus loin, les représentants du ministère qui ont témoigné devant le Comité ont affirmé que la haute direction a, malgré les changements apportés à la loi en 1988, décidé de favoriser un milieu de travail propice à l’utilisation des deux langues officielles.