In addition, the Commission submits that, as a result of activities such as residential development in the area and the separating of building plots at the northern end of Paralimni Lake, the habitat of the endemic species and its population have been adversely affected.
Enfin, la Commission considère que des activités, telles que le développement immobilier de la zone et la délimitation de terrains à l’extrémité nord du lac de Paralimni, ont eu pour résultat d’affecter négativement l’habitat et la population de l’espèce endémique.