The Liberal leader goes on to say, “My difficulty in taking Ukraine (its sovereignty) seriously goes deeper.I'm also what Ukrainians call a Great Russian, and there is a trace of old Russian disdain for these 'little Russians'”.
Et le chef libéral de poursuivre: « La difficulté que j'éprouve à prendre au sérieux l'Ukraine (sa souveraineté) trouve sa source encore plus profondément (..). Je suis aussi ce que les Ukrainiens appellent un “grand Russe”, et il se trouve en moi un soupçon d'ancien dédain russe pour ces “petits Russes”».