Hence the country-of-origin principle, particularly in its original form in the proposed directive, is for me a bridge too far: it would be injurious to home-grown employment to permit service providers to operate in the host country of their choice without, unlike local providers, being subject to the same costly restraints in labour, consumer and environmental legislation.
Ainsi, selon moi, le principe du pays d’origine, notamment sous sa forme initiale dans la proposition de directive, va trop loin: ce serait faire injure aux employeurs nationaux que d’autoriser des prestataires de services à mener leurs activités dans le pays d’accueil de leur choix sans devoir, contrairement aux prestataires locaux, se soumettre aux mêmes contraintes coûteuses des législations sur le travail, la protection des consommateurs et l’environnement.