The tendency, especially on the part of donors, to outsource work linked to sexual violence to civil society or to humanitarian actors is understandable in the face of governments' reluctance to tackle sexual violence, and in the case of Darfur and the DRC, even the state itself is implicated.
La tendance, surtout de la part des donateurs, est de confier à des sociétés civiles ou à des intervenants humanitaires le soin de s'occuper de la violence sexuelle, ce qui est compréhensible, quand on sait à quel point les gouvernements hésitent à sévir contre la violence sexuelle, ou même, dans le cas du Darfour et de la RDC, quand l'État lui-même est impliqué.