By contrast, the Commission considers it the perfectly legitimate right of a State, particularly one that is a frequent victim of shipping accidents, to be better informed of and monitor more closely the passage off its coastline of ships transporting pollutant substances, or presenting a major hazard in any other respect.
Par contre, la Commission estime tout à fait légitime le droit pour un État, particulièrement s'il est fréquemment exposé aux accidents maritimes, de mieux connaître et de mieux surveiller le passage au large de ses côtes des navires transportant des matières polluantes, ou présentant un risque important à un autre titre [24].