I myself have advocated in the past that 112-operators must be able to deal with calls in the official languages of the European Union, and that it should, of course, also be possible to ascertain the caller’s location, because it is in emergency situations, for example in the event of fire or accident, that a person is most likely to be in a state of shock and is often unable to provide a precise definition of their location.
J'ai déj? personnellement défendu l'idée qu'un tel numéro doit être accessible dans toutes les langues officielles de l'Union européenne et que, naturellement, il doit être également possible de déterminer la provenance de l'appel, car dans les cas d'urgence, c'est-? -dire en cas d'incendie ou d'accident, les personnes concernées sont en état de choc et il ne leur est souvent pas possible de dire exactement où elles se trouvent.