In its final report, the commission argued that, in situations where states are unable or unwilling to protect their civilian population from mass atrocities, or where the state itself is the perpetrator, the international community has a responsibility to act.
Dans son rapport final, la commission soutient que, dans des situations où les États sont incapables de protéger leur population civile d'atrocités massives, ou lorsqu'ils ne sont pas disposés à le faire ou que les États eux-mêmes en sont l'auteur, la communauté internationale a la responsabilité d'intervenir.