In order to cover its intrusions in education, for example, the federal government talks about knowledge economy, the development of new skills, the importance of skills and knowledge, research assistance, technological innovation, and it sprinkles millions of dollars of public money in various foundations and trusts, which it created itself and which are not subject to parliamentary scrutiny, instead of transferring the money directly to the provinces, to allow them to manage it based on their specific needs and priorities.
Afin de camoufler ses intrusions en éducation, par exemple, il parle «d'économie du savoir», du développement de «nouvelles connaissances», de l'importance des «compétences et du savoir», «d'aide à la recherche», «d'innovation technologique» et saupoudre ici et là des millions de dollars de fonds publics dans des fondations et fiducies qu'il crée lui-même et qui échappent au contrôle des parlementaires, plutôt que de transférer directement ces sommes aux provinces pour qu'elles les gèrent en fonction de leurs besoins et de leurs priorités.