So if one takes seriously this under-siege perspective of the Cubans, then instead of seeing so-called dissidents, so-called independent journalists, librarians, and economists, so-called independent trade unionists promoting change in Cuba, what one discovers is in fact U.S.-financed and -directed agents of counter-revolution.
Donc, si l'on se place sérieusement dans cette perspective des Cubains qui se sentent assiégés, au lieu de voir des soi-disant dissidents, des soi-disant journalistes indépendants, des soi-disant bibliothécaires ou économistes, des soi-disant syndicalistes indépendants qui chercheraient à promouvoir le changement à Cuba, ce que l'on découvre, ce sont des agents de la contre-révolution financés et dirigés par les États-Unis.