The 2014 CVM report noted that despite some important steps in terms of managerial reform, the SJC was not widely regarded as "an autonomous and independent authority able to effectively defend the judiciary's independence vis-à-vis the executive and parliamentary branches of government".[5] The work of the SJC in 2014 has continued to be subject to controversy, with several incidents in relation to appointments, dismissals or the control of the application by courts of the system of random allocation of cases.
Il a été constaté dans le rapport de 2014 établi au titre du MCV qu'en dépit de l'adoption d
e certaines mesures importantes pour réformer sa gestion, le Conseil supérieur de la magistrature n'était pas
largement considéré comme «une autorité autonome et indépendante en mesure de défendre efficacement l'indépendance de l'appareil judiciaire par rapport au pouvoir exécutif et au Parlement».[5] En 2014, les travaux du CSM ont continué de susciter des controverses, plusieurs incidents étant intervenus en ce qui concerne des nominations, d
...[+++]es révocations ou le contrôle de l’application par les tribunaux du système d’attribution aléatoire des affaires.