But when it does, when somebody is desperate, and whether that person is in Quebec or in British Columbia, when that person is outside Canada or has a connection with somebody who is from Quebec or British Columbia, clearly we should not be cutting back on and taking away that right.
Mais lorsqu'elle survient, lorsqu'une personne est désespérée, peu importe que cette personne vive au Québec ou en Colombie-Britannique, si elle se trouve à l'extérieur du Canada ou qu'elle a une relation avec quelqu'un au Québec ou en Colombie-Britannique, nous ne devrions clairement pas serrer la vis et retirer ce droit.