The duty in question, known as the "soulte", was charged both on imported alcohol and on nationally produced alcohol, though with the crucial difference that, in the case of nationally produced alcohol, the revenue was paid to the monopoly, which then used it to purchase French distiller's alcohol production at a higher price than that at which it sold the alcohol.
La charge fiscale en cause, appelée soulte, était perçue aussi bien sur les alcools importés que sur la production nationale avec la différence essentielle que dans ce dernier cas, le revenu était versé au monopole qui s'en servait notamment pour acheter aux distillateurs français leur production d'alcool à un prix plus élevé que celui pratiqué à la vente par ce même monopole.