The debt relief for the Republic of Iraq, and I would call it substantial debt relief, which was decided on by the Paris Club in November, is without doubt indispensable if the country’s economy is to be rebuilt, and also if a sovereign Iraq with democratic and legitimate institutions is to be reborn.
L’allégement de la dette, et je dirais l’allégement important de la dette, qui a été décidé par le Club de Paris en novembre en faveur de la République de l’Irak est, sans aucun doute, une nécessité pour la reconstruction économique de ce pays, comme pour la renaissance d’un Irak souverain doté d’institutions démocratiques et légitimes.