While this marked the second time since World War II that the Soviets had agreed to comprehensive human rights, the Helsinki Accord for the first time also opened up a small window of interference in so-called domestic affairs of each signatory state, including the U.S.S.R. and its sister satellites.
Bien que cet accord marquait, pour la deuxième fois depuis la Seconde Guerre mondiale, une reconnaissance importante des droits de la personne par les Soviétiques, l'Accord d'Helsinki a également offert, pour la première fois, une modeste possibilité d'ingérence dans les soi-disant affaires internes de chaque État signataire, y compris l'URSS et ses États satellites.