The Spanish authorities argue that since the closure of the World Trade Organization's (WTO) ten-year, transitional Agreement on Textiles and Clothing (ATC) at the end of 2004, the European Union market for textiles has been open to far more global competition, particularly from China and other Far Eastern countries.
Les autorités espagnoles font valoir que, depuis l'expiration, fin 2004, de l'accord transitoire de dix ans sur les textiles et les vêtements (ATV) de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), le marché des textiles de l'Union européenne a été ouvert à une concurrence beaucoup plus mondiale, dont celle de la Chine et d'autres pays d'Extrême-Orient.