Witnesses have told us, not so long ago, that when patients are fearing for their lives and they realize that the wait time is shorter for services in English — that is, to be treated in an English-speaking hospital rather than a French-speaking one — they choose the English-speaking one because their lives are at stake. The language issue suddenly becomes secondary.
Des témoins sont venus nous dire, il n'y a pas tellement longtemps, que lorsque le patient, celui qui craint pour sa vie, constate que l'attente est plus courte pour des services en langue anglaise — c'est-à-dire être traité dans un hôpital anglophone plutôt que francophone —, il choisit le premier parce que sa vie est en jeu. La question de la langue devient tout à coup secondaire.