Day-to-day practice – and I include my own country in this – indicates that there are still plenty of loopholes, that definitions are unclear, that prohibitions are sometimes ignored, and that commercial considerations all too often take precedence over respect for human rights.
Dans la pratique - et j’entends par-là celle de mon pays également -, on se rend compte qu’une multitude de lacunes persistent, que les définitions ne sont pas claires, que les interdictions sont parfois ignorées et que les considérations commerciales l’emportent bien trop souvent sur le respect des droits de l’homme.