For example, it decided in mid-October not to raise interest rates, sensing that other positive economic developments (e.g., the strength of the U.S. economy and its demand for Canadian exports; the rebound in the global economy as evidenced by the surge in commodity prices) were serving as offsets to the exchange-rate effect.
Par exemple, elle a décidé à la mi-octobre de ne pas relever ses taux d’intérêt, convaincue que d’autres développements économiques positifs (comme la force de l’économie américaine, la fermeté de la demande américaine pour les exportations canadiennes et la reprise économique mondiale mise en lumière par le redressement du cours des produits de base) compensaient l’effet du taux de change.