There is a significant feeling of loss there, not only on the part of the Metis who were excluded because of that issue around the schools, but also on the part of First Nation students who went to residential schools but did not reside there.
Il y a là un important sentiment de perte, non seulement de la part des Métis, qui ont été exclus en raison de la question des pensionnats, mais également de la part des élèves des Premières Nations, qui ont fréquenté les pensionnats, mais qui n'y habitaient pas.