Yet, without this additional power, CSIS had the power, subject to certain safeguards, to use electronic bugging to monitor what the Canadian Security Intelligence Service Act calls, activities in support of acts of serious violence for the purpose of achieving a political, religious or ideological objective within Canada or a foreign state.
Pourtant, sans ce pouvoir additionnel, le SCRS avait le pouvoir, moyennant certaines mesures de sauvegarde, d'utiliser l'écoute électronique pour surveiller ce qui s'appelle, selon la Loi sur le Service canadien du renseignement de sécurité, des activités qui visent à favoriser l'usage de la violence grave dans le but d'atteindre un objectif politique, religieux ou idéologique au Canada ou dans un État étranger.