English-speaking filmmakers who are visible minorities in Quebec are basically left out of the loop: one, because they're English speaking and therefore don't get to tap into the funding that goes just generally to English-speaking programming; and two, because they're visible minorities, and visible minorities in Quebec do not have the same critical mass in Montreal, for instance, that we would have in Toronto, where close to 50% of the population is visible minority.
Les cinéastes anglophones qui sont des minorités visibles au Québec sont laissés sur la touche, premièrement parce qu'ils parlent anglais et qu'ils n'ont pas accès aux fonds réservés à la programmation anglaise générale et, deuxièmement, parce qu'ils sont des minorités visibles et que les minorités visibles anglophones au Québec ne constituent pas la même masse critique à Montréal, par exemple, qu'à Toronto où près de 50 p. 100 de la population fait partie de la minorité visible.