Captain Dadis Camara, who led the junta, made a firm commitment not to stand in the presidential elections, but after a disastrous management of the country – no budget, no public tender bids, no basic services for the population – he acquired a taste for power and clung to it so tightly that he is now standing in the elections.
Le capitaine Dadis Camara qui la dirigeait s’était engagé fermement à ne pas être candidat aux présidentielles, mais après une gestion désastreuse du pays – absence de budget, d’offres publiques dans les marchés, de services basiques à la population –, il a pris goût au pouvoir et il s’y est accroché au point de se présenter maintenant aux élections.