If we have this national DNA databank and if substances are kept past one's acquittal and if bodily substances are kept rather than just the minuscule or whatever type of profile we are able to have at this time, never mind what we are going to have 10, 15 or 20 years down the road, the only people who have something to fear in this case are the criminals, not the innocent, for indeed they are the ones who shall be set free.
Si nous avons une banque nationale de données génétiques et si les substances corporelles sont gardées après l'acquittement d'une personne, au lieu du simple profil que l'on peut établir en ce moment—indépendamment de ce que l'on pourra faire dans 10, 15 ou 20 ans—, les seules personnes qui ont quelque chose à craindre sont les criminels. Ce ne sont pas les innocents, puisqu'ils seront libérés.