What message does it send to Canadians, not just to francophones but to all Canadians, when we say that even if we have two official languages, only one of them is really official here in the national capital itself?
Quel message cela envoie-t-il aux Canadiens, pas seulement aux francophones mais à tous les Canadiens, quand nous disons que, même si nous avons deux langues officielles, seule l'une d'elles est vraiment officielle ici, dans la capitale elle-même?