There are legal precedents in these countries and, without predicting the future, I think that if a fellow Canadian, whether from Newfoundland, Ontario, Quebec, Saskatchewan or anywhere else, were to attempt, under the Canadian legislation or the charter, to change the notion of marriage, there are firm guarantees that, under the common law, a marriage can only take place between two people of opposite sex.
Nous avons des garanties que de la jurisprudence a été créée dans ces pays et nous savons très bien que, même si un concitoyen au Canada, quel qu'il soit, de Terre-Neuve, de l'Ontario, du Québec ou de la Saskatchewan voulait, en vertu de la Loi canadienne ou de la Charte, changer la notion de mariage, je crois, sans prédire l'avenir, que nous serions dans une situation où il y a des garanties assez fermes que le mariage, en vertu de la common law, s'entend de deux personnes de sexe opposé.