As I have said before, even if Member States were to face labour market shortages, they would be free to cap the total number of migrants they are ready to admit, if they consider, for instance, that their society is already facing too much of an integration burden.
Comme je l'ai déjà dit, même si les États membres sont confrontés à des pénuries sur le marché du travail, ils sont libres de limiter le nombre total d'immigrants qu'ils sont prêts à accepter s'ils considèrent par exemple qu'une charge d'intégration trop importante pèse déjà sur leur société.