As a result, many parents invoked their status as rights holders so that they could send their children to French schools, as reported in volume three, number 34 of the weekly newspaper, L'Étoile.
Ceci eut pour résultat que plusieurs parents ont décidé de se servir de leur statut « d'ayant droit à l'école en français et d'envoyer leurs enfants sur les bancs des écoles francophones », comme l'indique le troisième volume, n 34, de l'Étoile.