Knowing the Kenyan one as well as I do — and the chair knows — in the north, sometimes the services there become much more attractive than going back home, and then you're caught in the conundrum of whether it is resettlement, continuance in the camps or attempting to get them back to their communities, where they rightfully belong, but they've been in the camps so long they can't remember what life was like there.
La présidente et moi-même connaissons très bien les Kényans, et nous savons que dans le Nord du pays, les services offerts sont parfois beaucoup plus attrayants qu'un retour à la maison, et on ne sait plus s'il vaut mieux relocaliser les personnes, les laisser continuer de vivre dans les camps ou tenter de les faire rentrer chez elles, à leur juste place; mais elles vivent dans des camps depuis si longtemps qu'elles ne se souviennent plus à quoi ressemblait la vie là-bas.