Caregivers, whose own health is relative, are not equipped to experience the throes of progressive decline (a teaspoon at a time, wrote one patient); the indignity of urinary or fecal (rectal, or worse, vaginal) incontinence—we do not often hear that in Parliament; of constant breathlessness; the throbbing acute pain caused by a collapsing cancerous vertebra, causing the patient to cry out at the slightest movement; the gauntness and extreme weakness that result in total dependence, even for the simplest things such as turning over in bed just slightly or lifting half a glass of water to one's parched lips.
Les soignants, tous en santé relative, ne sont pas habilités à ressentir les affres de la décrépitude progressive (une c. à thé à la fois a écrit un malade), de l’indignité de l’incontinence urinaire, fécale (rectale, ou pire: vaginale), [on n'entend pas cela souvent au Parlement] d’un essoufflement incessant, des
douleurs aiguës en coup de poignard causées par l’affaissement d’une vertèbre cancéreuse, et qui font crier au moindre mouvement, de l’extrême maigreur et de l’extrême faiblesse qui débouchent sur une dépendance totale, même pour les gestes les plus simples comme se tourner seul au lit d’un petit huitième de tour, ou encore por
...[+++]ter un demi-verre d’eau à sa bouche desséchée.