Finally, we must, as a matter of urgency, introduce new own resources, such as the financial transactions tax, the carbon tax or a tax on businesses, which would, at one and the same time, allow us to reduce the GDP-based contributions from Member States and dispense with the infamous debate over net contributors.
Enfin, nous devons introduire de nouvelles ressources propres – c’est urgent –, comme la taxe sur les transactions financières, la taxe carbone ou bien un impôt sur les entreprises permettant, simultanément, de réduire les contributions des États membres sur base du revenu national brut et de sortir de la fameuse discussion des contributeurs nets.